Renouvellement des machines à injecter chez Evolis : un investissement 100% gagnant.
Avec le renouvellement de 5 machines à injecter, sur un espace total de près de 1000m2, Evolis investit dans un équipement moderne pour soutenir sa croissance. Installées en juin, ces nouvelles presses offrent déjà des bénéfices importants : amélioration du confort de travail des collaborateurs, réduction de la consommation d’énergie et optimisation de la productivité. Retour en mots et en images sur cet investissement qui semble remplir tous les objectifs.
Une modernisation complète du parc existant.
Ce projet d’envergure a été déployé initialement pour remplacer des machines vieillissantes : 80% des presses avaient alors plus de 20 ans. Ainsi, en pérennisant son parc, Evolis veut renforcer son agilité et sa performance : « Ces 5 nouvelles presses à injecter vont nous permettre de réduire les risques de pannes et les coûts de maintenance tout en augmentant notre capacité de production. Elles vont aussi offrir encore plus de précision et de rapidité dans la réalisation des pièces. » explique Marc Pichard, responsable du service.
Quand productivité et confort se rencontrent.
Si l’optimisation de la productivité est centrale pour le fabricant français, le confort de ses collaborateurs l’est tout autant. En plus d’être plus silencieuses, les 5 nouvelles presses ont toutes été équipées de robots. Ces « bras » automatisés prélèvent la pièce produite, la déposent directement sur le tapis qui finalement la convoie vers l’opérateur. Les 11 collaborateurs sont alors soulagés de cette tâche répétitive et peuvent se concentrer sur des actions à plus forte valeur ajoutée : réception de la pièce, contrôle visuel, ensachement, conditionnement en bac et alerte en cas de dérive.
Une performance qui est aussi énergétique
Sous de multiples aspects, Evolis est engagée dans une démarche RSE, notamment en ce qui concerne les économies d’énergie. Et de ce point de vue, le renouvellement des presses n’est pas anodin : les anciennes machines hydrauliques ont été remplacées par des presses 100% électriques. Cela a permis de diviser par 3 la consommation d’électricité.